Avec Santa Teresa 1796 Chuao Cacao Cask Finish, la maison vénézuélienne signe une nouvelle édition limitée où le rhum rencontre l’un des trésors les plus emblématiques de son terroir : le cacao de Chuao. Une création singulière, à la croisée de la tradition, de l’innovation et de la mémoire sensorielle, qui célèbre l’identité profonde du Venezuela.

Un même territoire, deux expressions d’excellence
Dans cette édition exclusive, Santa Teresa explore un lien naturel : celui qui unit le rhum et le cacao, deux produits intimement liés à l’histoire agricole et culturelle du Venezuela. Ici, le cacao Chuao — reconnu mondialement pour sa rareté et sa finesse aromatique — n’est pas un simple ingrédient, mais un véritable partenaire de création. Après son vieillissement en méthode solera, signature du Santa Teresa 1796, le rhum bénéficie d’une finition inédite de neuf mois en fûts de chêne américain. Ces fûts ont été préalablement imprégnés pendant six mois d’une macération de cacao Chuao, permettant au bois de se charger profondément de ses arômes.
Ce long contact transforme le rhum en profondeur. Le cacao agit comme une seconde peau, enveloppant le spiritueux et enrichissant sa structure. À la dégustation, le Santa Teresa 1796 Chuao Cacao Cask Finish dévoile une texture plus ronde et soyeuse, portée par des notes chocolatées intenses, des éclats de cacao, de la noix, des fruits secs et une élégante touche d’écorce d’orange confite. Un équilibre subtil se crée entre la douceur naturelle du rhum, sa complexité aromatique et la puissance maîtrisée du cacao, sans jamais masquer l’identité du Santa Teresa 1796.
Une création guidée par le savoir-faire et le regard du cacao vénézuélien
Pour Nancy Duarte, master blender de la maison, cette édition revêt une dimension toute particulière : « Les fûts sur mesure, imprégnés de cacao de Chuao, révèlent une finesse et une puissance qui s’harmonisent parfaitement avec le caractère de notre rhum en triple vieillissement. Le résultat est un rhum élégant, complexe, empreint d’âme et de savoir-faire vénézuélien. Chaque note raconte une histoire qui nous rappelle que l’innovation peut aussi être un acte de mémoire sensorielle. »
Ce projet n’aurait pu voir le jour sans la contribution de María Fernanda Di Giacobbe, figure majeure du cacao vénézuélien et chocolatière engagée. Son expertise a été déterminante dans la sélection et la préparation du cacao Chuao utilisé pour l’imprégnation des fûts. « Le moment où le rhum rencontre le cacao, c’est comme dire : “voici le Venezuela”. C’est un produit d’identité et de transmission. »




